No Name [RP Skype]

L'orage le réveilla en sursaut et il soupira, se rendormant dans la minute.

Il resta éveillé, profita de l'orage et celui-ci terminé aux alentours de six heure, fit le ménage, prit un énième café.

Il se leva sur les coups de sept heures et se prépara pour la journée.

Le brun fit ensuote passer le temps en jouant aux jeux vidéos.

A huit heures tapantes,il partait de chez lui pour ses cours qui commençaient à huit heure et demi.

-Le brun fit passer le temps en jouant aux jeux vidéos.-

Sa journée de cours terminée, il rejoignit Seung, qui avait un entretient de prévu avec un membre du Sud et qui requérait sa présence.

Le soir approchait et personne n'avait mis un seul pied dans son salon hormis lui-même, faisant régulièrement des aller-retours entre le supermarché et l'étage.

L'entrevue dura à peine une petite heure et demi avant que le groupe de l'Ouest, composé de 3 personnes - un autre proche de Seung s'étant joint à la rencontre, ne reparte tranquillement vers leur territoire. Ils prirent leur temps, narguant parfois presque les membres du Sud par leur présence, et en profitèrent pour regarder les lieux, un peu à la manière de touristes.

Lors d'une balade tardives, aux alentours de vingt-et-une heure trente, le coucher de soleil atteignant son paroxysme aux portes du crépuscule, il s'était arrêté dans le bar le plus proche, s'était assis, avait joint ses deux mains, coudes sur le bois massif et avait commandé un verre ou deux, faisant tourner le liquide dans le récipient,celui-ci mi vide, réfléchissant intensément à ses rencontres proches. Wonshik avait croisé les quatre imbéciles de la veille, tiquant au souvenir de leur poing glissant près de ses côtes. Le bleu lui avait valu une nuit entière couché sur le dos, une poche glacée sur sa peau, ensuite abandonnée au sol, fondue, chaude. Le garçon songea ensuite aux entrevues qui se précipitaient entre Ouest et Sud, aujourd'hui encore en avait eut lieu une, "Seung et le maudit gamin, et trois autres bouffons aussi" lui avait-on dit entre deux bouffées. Il inspira longuement, termina sa boisson et alluma une cigarette, un cendrier se posant automatiquement devant lui. Il y en avait un peu partout dans la salle. Serte le patron acceptaient qu'on fume à l'intérieur -comptant sur le fait que les quatre-vingt-dix pourcents de ses clients fumaient à temps complet- mais il haïssais en tout point la saleté. Ramasser des cendres toutes la journée, passer le balais et désespérer quant au bois ciré brûlé lui passait par-dessus la tête. Pov' gars.